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Comment tuer lentement mais sûrement le tissu associatif local

Restrictions drastiques sur les subventions territoriales, suppression des Contrats en Emploi Aidé, autisme des instances territoriales de la Politique de la Ville, assèchement des interventions POLEMPLOI,

les associations, qui oeuvrent au service du développement social ou du vivre ensemble de notre territoire et sont donc conduites à employer du personnel, semblent vouées à la faillite. On peut s’en moquer ou prétendre que ces associations n’ont aucune utilité concrète.

Pourtant, ces associations, créées et/ou portées par des bénévoles ou des salariés à très faible salaire, remplacent de fait des services publics totalement défaillants, notamment par leur présence au bénéfice des populations défavorisées. En asséchant leurs finances, on participe à la désurbanisation de nos territoires, véritable faillite sociale dont on paiera l’addition dans quelques années.

Macron, ce Président élu par forfaits…

Candidat certainement très intelligent, Emmanuel Macron a indiscutablement bénéficié d’une rare conjonction astrologique historique.

Avec ses haines internes et ses vieilles habitudes caporalistes, la droite s’est empêtrée dans une voie catastrophique qui l’a menée tout droit dans le mur. C’était une folie de tolérer l’intolérable pour un parti conservateur. Mais la guerre larvée entre les Sarkosistes et les Juppéistes a permis à un candidat amoral de se fourvoyer (ce qui n’est pas grave, après tout) et de mener un parti majoritaire dans la fosse à purin.

Du côté gauche, le PS s’est aperçu que depuis 36 ans il était social libéral et qu’il en refusait l’évidence. Mitterand a eu 2 années de social-démocratie pure et dure, de même que Hollande.

Les primaires sont pratiques en ce sens qu’elles évitent un consensus et qu’elles défaussent la recherche d’une pensée synthétique sur un électorat très réduit. Elle sont révélatrices des divisions et des courants internes, et réduisent une vision politique à un plus grand commun diviseur. En aucun cas, elles ne fédèrent.

Mais après tout, pourquoi le libéralisme ne serait-il pas de gauche? Il suffirait pour cela qu’il opère une juste redistribution des richesses! Jamais la France n’a été aussi riche, et aussi mal gouvernée.

C’est ainsi que le candidat Macron s’est retrouvé face à deux courants vindicatifs extrêmistes, d’ailleurs stupidement calés sur l’anti-européanisme et un attrait incompréhensible vers des pouvoirs quasi-dictatoriaux.

Il était alors facile au candidat candide de tracer une route bienveillante et consensuelle en prêchant le bonheur généralisé. Le FN, à contre-emploi, s’est même sabordé comme la flotte à Toulon, de façon incompréhensible.

Emmanuel Macron a réellement gagné par forfaits, mais il a gagné!

On ne peut maintenant que souhaiter qu’il réussisse à transformer le magma politique constaté en machine opérationnelle, que réapparaissent une pensée de droite et une pensée de gauche, et surtout qu’il parvienne à rendre à la France une vision optimiste et moderne de son avenir. C’est pas gagné!

Et si le revenu universel existait déjà? Et s’il nous menait tout droit au Front National?

Benoît Hamon s’est attiré les foudres de toutes parts en inventant son Revenu Universel. « C’est ruineux » ou bien « c’est payer les gens à rien faire ».

Or, ce principe existe déjà en PACA depuis plusieurs mois, et a été généralisé en France pour les jeunes de 18 à 25 ans par la loi Elkomri, avatar inabouti de la loi Macron: tout jeune concerné touche désormais 470 € par mois sans aucune justification, sans aucune obligation en retour, sans condition de ressources. C’est la Garantie Jeunes.

Ainsi, un jeune de 18 à 25 ans n’a plus aucune raison de se lever le matin ou de chercher un boulot. Le Service Civique, qui assurait au jeune 600 € en échange de prestations à la collectivité et aux associations loi 1901, ne trouve plus de candidats; de leur côté, les services d’aide à l’emploi, tels que POLEMPLOI, sont soulagés de cette mission et ne comptabilisent plus ces chômeurs.

Si l’opération est politiquement belle, elle déclenche mécaniquement une réelle paupérisation des quartiers difficiles, par le même procédé que celui qui a paupérisé nos territoires d’outre-mer depuis des dizaines d’années en allouant le RMI à tour de bras. Cette paupérisation assure à court terme la paix sociale, tout comme l’a permis la tolérance au traffic de stupéfiant. « En même temps », elle creuse aussi les inégalités, fabrique des pauvres, développe l’intolérance et le racisme, accroît les rancoeurs et accélère la terrible montée des populismes qui nous conduit vers ces extrémismes qui nous font trembler tous les 5 ans.

Il est vraiment décidément urgent de revoir « LE MODELE SOCIAL » français qui fait d’un pays très riche une bombe à retardement! L’urgence n’est pas tant de redistribuer l’argent que celui de redistribuer le travail rémunéré.

Tout salaire mérite travail normalement rémunéré…

Discours sur le vote utile… et sur le vote « chrétien » tant invoqué

Qu’est ce qu’un vote utile? Un ami se posait la question ce samedi matin, veille du premier tour… En réplique au nom que je lui suggérais, il me dit que celui-là n’avait aucune chance de gagner. C’est ainsi qu’on transforme un vote summum de la démocratie en pari du PMU!

Il n’y a qu’un vote utile, c’est celui de son coeur et de sa raison; tout autre choix résulte d’un calcul tactique qui ne relève pas d’un électeur individuel. Surtout quand on sait que les grands partis ont démontré leur incapacité à faire des choix utiles et leur incompétence devant la nécessité et l’urgence d’une décision salvatrice.

Un autre sujet qui doit interpeler, c’est celui du vote « chrétien » (qu’on pourrait d’ailleurs étendre à toutes les religions). Il est étrange de constater que pratiquement tous les candidats se disent chrétiens.

Qu’est-ce qu’être chrétien, sinon l’adhésion totale aux évangiles et, pour le moins, à la philosophie qu’ils sous-tendent. Valeurs qui ont fait notre civilisation, particulièrement au siècle des lumières, mais ont été aussi au coeur des trois ou quatre principales révolutions qui ont conduit à notre république.

Il y a la Solidarité, l’Amour du plus faible, l’Accueil de l’étranger, mais aussi les valeurs morales que la 3e république enseignait dans les écoles primaires: la loyauté, l’honnêteté, la probité, et … la laïcité.

Voilà bien quelques critères à retenir si l’on veut voter utile. Ce n’est pas si compliqué de voter, finalement ! Et c’est une telle chance!

Macron, candidat transversal ou traversin?

Tous les feux sont au vert pour le candidat Macron: les deux grands partis « démocratiques » sont en déliquescence, principalement du fait de luttes intestines dites ou non-dites, mais aussi par la désaffection des populations pauvres et précaires. Vient se superposer à ce phénomène un opportunisme apparent des futurs candidats aux législatives qui ne savent plus à quel saint se vouer.

Macron, candidat « Christique » à défaut d’être messianique, « ni de gauche, ni de droite, bien au contraire », devient donc le point d’accumulation de femmes et surtout d’hommes de tous bords: de Madelin ou Longuet, autrefois hommes liges de l’extrême-droite combattante, à  Robert Hue, autrefois Marxiste distingué, en passant par nos fameux Guérinistes locaux; ces derniers, selon le bon principe de prudence de la « ceinture bretelle », essayant de coller au PS dans les procédures de désignation  internes: un pied dedans, un pied dehors.

Pour le coup, le candidat « transversal » qui se plaisait à voir adhérer à sa démarche des profils très différents, voire disparates, se transforme en planche de salut et risque de devoir tenir compte de cette diversité extrême si le moment vient à lui sourire jusqu’au bout. Le candidat se transforme, malgré lui (mais est-ce bien certain?), en traversin de découcheurs professionnels. Démarche opportuniste ou pragmatique?

L’apparition d’un jeune candidat, plein d’intelligence, né avec une cuillère d’argent dans la bouche, peut paraître providentielle en cette période de déliquescence politique; et son succès médiatique, remarquablement orchestré, le confirme.

Restent de nombreuses zones d’ombre:

  1. qui est-il réellement? Un énarque qui, comme beaucoup de prédécesseurs (Fabius, Hollande, Royal, Olivier Ferrand, …) sont tombés à gauche parce que c’était le bon moment? La coqueluche de quelques caciques PS? En tous cas, un homme très malin, peut-être même très intelligent.
  2. quel est son projet? Ni gauche, ni droite… N’est-il pas plutôt « Gauche et Droite, à la fois »? Ses propositions ont, dès le début, attiré des quadras et jeunes quinquas, entrepreneurs souvent, qui ont été séduits par son hyper-libéralisme (les lois Macron  – et la loi El Khomri, avatar du précédent – constituent une précarisation généralisée de la société et l’implosion du fameux « modèle social français »). Ce qui sûr, c’est que les idées qu’il développe relèvent de l’impressionnisme : des touches de couleur par-ci par-là, en général banales ou passe-partout dont l’ensemble peut paraître novateur.
  3. quelles sont ses valeurs? L’argent, la réussite aussi,… autre chose peut-être. Son rapport à l’argent est assez flou, si ce n’est qu’il vaut mieux en avoir beaucoup. Mais, il est conforme en cela avec les autres candidats de droite.

Où nous emmènera-t-il s’il gagne? Difficile à dire, mais il aura intérêt à s’appuyer sur ses premiers soutiens pour se fixer une ligne politique. Quoiqu’il en soit, il est apparemment plus à l’aise avec la philosophie qu’avec la géographie… Un problème de latéralisation?

Comment Marine Le Pen parvient à défigurer la Démocratie

Au fur et à mesure que les 2 partis traditionnels s’affaiblissent et s’autodétruisent, deux nouveaux phénomènes apparaissent qui contrecarrent l’esprit du scrutin direct à deux tours.

Le premier problème est posé par la quasi-institutionalisation des primaires à deux tours: ce nouveau mode de sélection est une catastrophe car, s’il permet une grande transparence dans la connaissance des candidats, il conduit chacun a durcir et à cliver son positionnement pour mieux se distinguer des autres candidats. Ainsi, le programme du parti concerné est-il réduit aux profil restreint du sortant.

Nous savions que la gauche était divisée, mais nous ne connaissions pas vraiment le côté irréconciliable des deux courants. Dilemme: les frondeurs, opposants à Hollande et à la politique ultra-libérale de Macron (Pinnochio créé par Jacques Attali et qui a réussi à couper ses attaches au grand dam de celui-ci), les frondeurs, donc avec Hamon, sont très proches de Mélenchon. Une seule pensée pour deux porteurs…

Nous savions que la droite avait plusieurs tendances, mais nous ignorions la profondeur des dissensions. De surcroît, le parti de droite (je n’aime pas dire les Républicains) étant resté très caporaliste, la désignation du candidat Fillon entraine de facto la reconstitution d’un appareil entièrement dévoué au gagnant des primaires; moyennant quoi, le parti est dans l’incapacité de réagir sainement au tsunami « Pénélope » actuel et se jette délibérément dans le vide tel les moutons de Panurge. Une folie suicidaire!

Le deuxième problème vient du blocage « démocratique » auquel se heurte le Front National et l’usage qu’en font les deux grands partis institutionnels. Jusqu’à présent, l’électeur allait au premier tour voter pour son candidat préféré; il savait qu’il lui restait le 2e tour pour exprimer son rejet du FN, érigé pour la circonstance en monstre diabolique. Les choses n’en sont plus là: avec l’affaiblissement dramatique des grands partis, avec l’affaiblissement induit par les primaires, la question primordiale du premier tour devient « qui envoyer au deuxième tour pour battre le F.N.? « .

1 mars 2017: Pénélope réagit à la nouvelle saillie de François …

Lui (ferme et vigoureux)

– Je ne me retirerai pas !

Elle (exprimant enfin ses pensées)

– Tu as bien pris tes précautions?

Ah, que c’est émouvant les couples Cathos traditionalistes.

Le 22 janvier 2017, le Parti Socialiste découvre avec horreur qu’il a des électeurs de gauche…

Quel choc!

François Hollande avait réussi à nous faire croire que la déchéance de nationalité, l’ubérisation des taxis, les milliers de cars qui sillonnent les routes à la place de trains régionaux, la précarisation des emplois, l’étouffement des syndicats, la stigmatisation des jeunes des quartiers défavorisés, constituaient des valeurs de gauche.

Il a même réussi à faire passer un énarque, fils à papa, banquier, pour un leader socialiste.

Et patatras! tous les candidats à la primaire citoyenne (sauf 1) se sont révoltés contre ce nouveau système autocrate, ultralibéral et népotique dans lequel nous avons été plongés pendant 3 années « socialistes ».

Sans penser égoïstement aux années proches qui attendent les socialistes, et au régime de pain noir auquel ils vont être soumis, ne serait il pas plus sage que le parti socialiste profite de ce temps de disgrâce et reconstitue sa philosophie et son socle de valeurs qui devrait fonder le socialisme – la solidarité, le souci des faibles, la réduction des inégalités, … – toutes valeurs chrétiennes qui ont ensemencé le siècle des lumières et le 19e siècle.

Utopiques les projets de Benoît Hamon? Bien sûr, mais n’est-ce pas le devoir du socialisme de réinventer un monde plus juste? Pourquoi n’y a-t-il plus d’intellectuels de gauche dans ce pays?

Démocratie représentative n’est pas Démocratie

Notre société française est réputée fonctionner selon le régime de la démocratie représentative, en ceci que le peuple est régulièrement appelé à élire des individus qui seront amenés à le représenter pendant un certain laps de temps.

Une opinion couramment répandue est que, sitôt élue, la personne, devenue être politique, se sente libre de ses opinions et surtout de son comportement. Ainsi, François Hollande n’a-t’il même pas eu quelques mois de fidélité à ses engagements électoraux.

Mais la multiplication des strates politiques et des élections de nature et de structure différentes, le cumul forcené des mandats pratiqué à grande échelle en France conduit l’animal politique à des alliances d’opportunité très variables (les Verts européens et antinucléaires s’allient au PC anti-européen et pro-nucléaire, un Maire « Les Républicains » soutient un PS aux sénatoriales, des PS se retirent au nom d’un « Front Républicain » et soutiennent leur adversaire, etc…). Ce qui donne une certaine sinuosité au parcours politique.

La démocratie représentative ne peut marcher que lorsque le politique a des convictions, des valeurs, et l’âme chevillée au corps, ce qui se fait rare. Ce régime est inepte, si on ne lui adjoint pas le principe de la votation à la Suisse, ou du referendum populaire. A ce referendum, on trouve deux écueils flagrants: le populisme, très pratiqué sur une population fragilisée ou qui se sent telle (cible de l’extrême droite comme de l’extrême gauche), sur la cible (ZAD de Notre Dame des Landes) ou par la formule du plébiscite (« c’est ça ou je m’en vais », de Gaulle en 1969). C’est le principe de la Démocratie Participative.

Autre facteur primordial pour la Démocratie Représentative, la juste représentation des minorités dans la gouvernance. C’est la vertu du Contre-Pouvoir, contre-réaction qui participe de la régulation du Pouvoir.

En entreprise, c’est une juste place réservée à la représentation Syndicale, ce qui en France, terre de la violence et des affrontements, parait impossible.

Dans le champ politique, c’est une juste place réservée à la minorité, malencontreusement dénommée « opposition » et cantonnée à ce rôle. La logique inventée par la 5e république de la sur-pondération majoritaire est délétère de la démocratie. Ainsi, dans une Mairie, la majorité se voit attribuer 50% des sièges plus la moitié de son score, artifice qui permet à une équipe qui a obtenu au bénéfice de triangulaires une majorité relative à 30% d’obtenir 65% des sièges, transformant ainsi une majorité relative en majorité absolue. Cette logique perverse a été bien intégrée par Mitterrand, et l’a conduit à institutionnaliser le Front National comme 3e larron et comme faiseur de roi. L’ironie de l’histoire est qu’avec la décrépitude du PS, celui-ci est devenu le 3e larron…

Ce rôle de potiche réservé à l’opposition a ainsi permis à un Maire Salonais de régner en maître absolu pendant 12 années; ce même Maire a d’ailleurs reconnu les faits lorsque sa propre liste a été battue et qu’il a démissionné jugeant ce rôle de potiche indigne de sa personne.

Nos institutions doivent être remises en cause afin de redonner du pouvoir à ses minorités. La proportionnelle totale est entropique et crée l’instabilité; il faut réinventer une proportionnelle relative. L’introduction partielle du tirage au sort, telle que prônée par Etienne Chouard, est une autre voie de réflexion.

La religion et la femme dans les textes fondateurs

« Il est bon pour un homme de ne pas se marier. Cependant, en raison de l’immoralité si répandue, il vaut mieux que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari. (…) Voici ce que je déclare aux célibataires et aux veuves : il serait bon pour vous que vous continuiez à vivre seuls, comme moi. Mais si vous ne pouvez pas vous maîtriser, mariez-vous : il vaut mieux se marier que de brûler de désir.

-« … est le chef de tout homme, le mari est le chef de sa femme, et Dieu est le chef … ». Donc l’homme couvert pendant le culte déshonore …. Mais femme tête nue « déshonore son mari ; elle est comme une femme aux cheveux tondus. » (11,3) … « L’homme n’a  pas besoin de se couvrir la tête parce qu’il reflète l’image et la gloire de Dieu. Mais la femme reflète la gloire de l’homme ; en effet, l’homme n’a pas été créé à partir de la femme, mais c’est la femme qui a été créée à partir de l’homme. Et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais c’est la femme qui a été créée pour l’homme. »  (…) « les cheveux longs ont été donnés à la femme pour lui servir de voile »

-« Comme dans toutes les communautés …, il faut que les femmes gardent le silence dans les assemblées : il ne leur est pas permis d’y parler. Comme le dit la loi de Dieu, elles doivent être soumises. Si elles désirent un renseignement, qu’elles interrogent leur mari à la maison. Il n’est pas convenable pour une femme de parler dans une assemblée ».

-« Je désire aussi que les femmes s’habillent d’une façon décente, avec modestie et simplicité ; qu’elles ne s’ornent ni de coiffures compliquées, ni de bijoux d’or, ni de perles, ni de vêtements luxueux, mais d’actions bonnes, comme il convient à des femmes qui déclarent respecter Dieu. Il faut que les femmes reçoivent l’instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d’enseigner ou de prendre autorité sur l’homme ; elle doit garder le silence. En effet, Adam a été créé le premier, et Eve ensuite. Et ce n’est pas Adam qui s’est laissé tromper, mais c’est la femme qui, cédant à la tromperie, a désobéi à l’ordre de Dieu. Cependant la femme sera sauvée en ayant des enfants, à condition qu’elle demeure dans la foi, l’amour et la sainteté, avec modestie. »

De quel livre fondateur de la religion cet horrible texte peut-il bien provenir?

Qui peut répondre?

Intéressant à relire, le jour de la fête de la femme, non?